Quelques photos du weekend… La Catis, le Laplace Posted on 29 juin 2024 by admin Belle visibilité vendredi soir pour aller nager au milieu des lieus jaunes à la Catis. En panne de lampe, je profite de l’éclairage des autres pour photographier la langouste. Un congre se laisse approcher. Hervé éclaire les lieus immobiles. Ricardo fait son palier. Autre ambiance sur le Laplace ce soir, mais tout autant de vie. Les dorades nous entourent. Toujours sans lampe, je photographie la gorgone en éclairage naturel. Clou de la plongée, un gros calamar. Superbe animal ! Votre photographe vous salue. Merci Julien pour le cliché.
grottes du Cap, mai 2024 Posted on 1 juin 2024 by admin Enora est prête pour l’aventure des grottes. De belles lumières d’ambiance. Et puis des éponges variées : des chauve-souris côtoient des fesses d’éléphant étonnamment blanches. Des bouquets y ont trouvé refuge. J’aime l’ombre portée sur la paroi du lieu jaune (avec une grosse anilocre au dessus de l’oeil gauche). Il est temps de retrouver la lumière du jour. Un banc de lançons nous accueille à la sortie. Bernard Grandclaudon
épave du Laplace – mai 2024 Posted on 1 juin 2024 by admin Je ne présente pas ici l’épave de cette frégate de construction américaine datant de la seconde guerre mondiale. Avec des immenses hélices. On pourrait croire que cette araignée parle à ce congre. En fin de plongée, Patrick, mon binôme, me présente un bernard l’hermite qui me fait penser à un fêtard qui aurait trop utilisé de bombe à serpentin et qui n’arrive plus à synchroniser son regard. Plus sérieusement, les serpentins sont des aconties, des petits filaments venimeux qui sont produits par une très belle anémone commensale (peut-être parce qu’elle ressemble à un bavoir ?). Elle les produit dans des moments de stress pour échapper à ses prédateurs. Je crains qu’elle ne nous ait pris pour l’un d’eux. On distingue très clairement les jolis points roses de cette anémone. Chose incroyable, l’anémone les récupère après avoir échappé au danger et les recycle pour en produire de nouveaux au prochain coup de stress. Bernard Grandclaudon