Les roches isolées

La Catis (15-35m)


Cap plein Nord en quittant le port de Saint-Cast vers cette grande roche isolée à environ 3 miles au nord du Cap Fréhel. A Marée haute, le sommet est à 16 mètres environ et le fond à 36. Ce grand caillou est planté au milieu d’une plaine de sable. C’est une oasis grouillante de vie : bancs de lieus, tacauds, nombreuses coquettes, beaucoup de vieilles, dont les plus grosses, brun-rouge à points bleus font penser aux mérous. Il est quasiment impossible de repartir sans avoir vu un nombre incalculable de homards et de congres se partageant les trous perçant la roche sur une bande uniforme entre 18 et 26 mètres de fond. C’est sans conteste une des plus belle plongée de notre baie! Attention, les niveaux 1 ne plongent sur ce site qu’à mer basse et sont limités à 20m.

L’Amas du Cap (10-25m)


C’est le nom de l’îlot situé à l’Ouest du Cap Fréhel. Les courants y sont très forts, et il faut plonger à l’abri de l’îlot. Côté Nord, une dune de sable descend de 10 à 30 mètres (marée haute). La plongée se fait en remontant contre la paroi de l’îlot. Au nord-ouest de l’îlot, il est possible de s’aventurer dans une petite caverne immergée, attention cependant au ressac.

Les Basses de Lalatte (15-25m)


Ces roches situées devant le fort Lalatte sont exposées au courant. Ce courant est ici source de vie car la faune et la flore pullule et vous rencontrerez les emblématiques tacauds ainsi que des lieux.
On ne plonge sur ces basses que par petit coefficent de marée.

La Basse Raymonde (0-20m)

C’est une roche découvrante entre Fréhel et le Fort Lalatte. Le caillou n’est pas très grand mais il abrite une faune et une flore extrêmement riche. Il ne faut pas être trop nombreux en même temps. Il abrite des colonies de lieu jaune et de tacaud. Le respect de l’horaire des marées est impératif tant le courant devient fort.

La Basse Poulverre et la Basse Chrétienne  (5-25m)

 

Ces deux roches sont situées au nord-est de l’île Agot, à l’Est de Saint-Cast. Elles sont riches en faune et flore et l’on y rencontre parfois des raies torpilles. Leurs sommets sont couverts de laminaires mais dès 10m, les éboulis offrent de nombreux abris aux crabes. Au printemps, les pontes de calamars sont fixées dans les anfractuosités.

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