14 juillet

On commence par se trouver un site un peu protégé de l’inhabituelle houle du nord. Ce sera 14 m maxi.
Une joueuse de golf égarée, probablement !
On trouve de éponges « tubes de fer »
mais surtout de magnifique plumes dorées.
Cette ponte est un marqueur assez fiable de la présence de doris.
Bingo, au milieu des hydraires, ce joli nudibranche se nourrit. C’est un crimora à papilles, merci Gwen.
Des tacauds juvéniles sont à l’abri sous les roches.
Les polypes de l’alcyon blanc sont bien ouverts.
Et puis une chose étrange : est-ce un lièvre de mer en train de grignoter un œuf de je ne sais quoi ? On croirait voir un embryon à travers l’oeuf.
Le centrolabre est en revanche aisément identifiable avec son point noir.
Et puis, bonheur de la plongée, la fabuleuse périclimènes dans son anémone verte.
Pas facile à photographier et à éclairer avec toutes ces tentacules, on distingue sa queue.

photos de Bernard Grandclaudon

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