Simulation d’accident de plongée avec la SNSM

l’article dans l’Ouest-France

Comme chaque année, on réalise en début de saison un exercice de simulation d’accident pour que les pilotes, les DP et les autres secouristes trouvent leur place et leur rôle.

Patrick aux commandes, il assurera la transmission du message d’urgence avec Jean-Luc.

Cette année, sur demande d’Alain de la SNSM, nous ajoutions une panne moteur à notre victime qui souffrait d’un œdème aigu d’immersion.

transbordement de la victime, notre bateau allant être remorqué.
retour vers Saint-Cast

Et pour conclure, le compte-rendu précis de Christophe pour être encore plus efficaces.

le bonheur de retrouver la Catis

Hervé découvre ses nouveaux jouets : lampe et appareil photo.

L’eau étant tout juste en dessous de 10°, pas encore de plancton. Combiné à l’absence de pluie de ces dernières semaines, pas de particules. Si on ajoute l’absence de houle et de vent du nord, on obtient une visibilité excellente.

Tiens des crevettes, les congres ne doivent pas être loin. On ne peut pas parler à proprement de symbiose puisque seules les crevettes bénéficient de la proximité des congres en ingérant leurs restes de repas.
Notez le dendrodoris à droite des deux congres.
On distingue bien les branchies qu’il porte à l’extérieur.
Toujours en mode macro, les corynactis, ces merveilleuses anémones-bijoux qui tapissent certains tombants.
Dans la faille sous les corynactis, c’est la langouste.
Moins craintif, le tourteau nous observe.
Nous croiserons plusieurs bancs de tacauds.
L’un d’entre eux se cache derrière deux gorgones aux polypes rétractés.
Dans la famille des coquettes, je demande le père.
Bonne pioche, je demande la mère.
Le logo du club de plongée…
Anne et Hervé regagnent la surface après 30 minutes à plus de 30m.

plongée à 32 mètres sur l’épave du Walter

50 minutes de trajet, la chaine de la ligne de mouillage qui s’emmêle, on se replace et cette fois c’est la bonne…

J’aime surtout l’avant de cette épave qui est encore en très bon état.

Le canon de la proue est tombé sur le sable il y a quelques années déjà.Comme le bateau est couché sur son tribord, voilà ce que l’on voit,

et voilà ce que ça donne quand on fait pivoter l’image de 90°.Les congres sont-ils partis chasser ? La chaudière est vide.

D’autres se cachent dans le puits de la ligne de mouillage ou dans un dispositif sous la coque. (prise d’eau pour le refroidissement des moteurs ?)

L’arrière ressemble à un alignement de menhir.

L’hélice est encore bien visible.

Bravo à Ewen pour son niveau 2, c’était sa plongée de validation. Il est temps de passer au palier de décompression

De bons souvenirs, Bernard Grandclaudon, pour Saint-Cast Plongée

      

Plongée sur l’épave du Frémur, le 8 août 2018

Oui, il ne reste plus grand chose de ce sablier de la TIMAC qui a été dynamité.Ce n’est pas une raison pour ne pas y aller !Ce qu’il reste sert de récif à de nombreux habitants. A commencer par les tacauds.Un congre habite même l’avant de l’épave. Nous le voyons nager en pleine eau. 

Vieilles et blennies.

   

De nombreux pétoncles s’envolent à notre passage. Notez ces petits yeux qui nous regardent (Les petits points noirs brillants)

A plouf,

Bernard

Saint-Cast Plongée au Vieux Banc

Superbe lumière et visibilité extraordinaire sur la tête de roche couverte de laminaires.

Nous sommes partis aujourd’hui en quête d’un nouveau site de plongée. Nous avons mouillé en gros entre les deux balises du Vieux Banc.

Le site est très beau avec des corynactis roses (les petites anémones bijoux roses), des fesses d’éléphants (les éponges gris foncé) et une blennie pour habiter ce petit univers coloré.

 

A gauche, on peut aussi observer le crabe de l’anémone (toute petite araignée)

On est rapidement arrivé à sable, ou plutôt sur des débris coquillers qui servaient de lit à une roussette.

A 20 mètres, la lumière du jour est encore parfaitement perceptible.

Les langoustes sont désormais omniprésentes sur la Côte d’Emeraude.Et un joli petit nudibranche : le polycera des Féroes pour conclure cette charmante exploration.

Bernard Grandclaudon

Les grottes du Cap

Plonger aux grottes du Cap Fréhel, c’est dépaysant…Une plongée de nuit en plein jour.Des lueurs crépusculaires.Les bouquets attendent la nuit.Les anémones ont de drôles de couleur.    Quelques créatures intrépides s’y aventurent.

Les blocs de roches sont recouverts de moules, de balanes et de mirabelles.

  A plouf,

Bernard