plongée à 32 mètres sur l’épave du Walter

50 minutes de trajet, la chaine de la ligne de mouillage qui s’emmêle, on se replace et cette fois c’est la bonne…

J’aime surtout l’avant de cette épave qui est encore en très bon état.

Le canon de la proue est tombé sur le sable il y a quelques années déjà.Comme le bateau est couché sur son tribord, voilà ce que l’on voit,

et voilà ce que ça donne quand on fait pivoter l’image de 90°.Les congres sont-ils partis chasser ? La chaudière est vide.

D’autres se cachent dans le puits de la ligne de mouillage ou dans un dispositif sous la coque. (prise d’eau pour le refroidissement des moteurs ?)

L’arrière ressemble à un alignement de menhir.

L’hélice est encore bien visible.

Bravo à Ewen pour son niveau 2, c’était sa plongée de validation. Il est temps de passer au palier de décompression

De bons souvenirs, Bernard Grandclaudon, pour Saint-Cast Plongée

      

Plongée sur l’épave du Frémur, le 8 août 2018

Oui, il ne reste plus grand chose de ce sablier de la TIMAC qui a été dynamité.Ce n’est pas une raison pour ne pas y aller !Ce qu’il reste sert de récif à de nombreux habitants. A commencer par les tacauds.Un congre habite même l’avant de l’épave. Nous le voyons nager en pleine eau. 

Vieilles et blennies.

   

De nombreux pétoncles s’envolent à notre passage. Notez ces petits yeux qui nous regardent (Les petits points noirs brillants)

A plouf,

Bernard

Saint-Cast Plongée au Vieux Banc

Superbe lumière et visibilité extraordinaire sur la tête de roche couverte de laminaires.

Nous sommes partis aujourd’hui en quête d’un nouveau site de plongée. Nous avons mouillé en gros entre les deux balises du Vieux Banc.

Le site est très beau avec des corynactis roses (les petites anémones bijoux roses), des fesses d’éléphants (les éponges gris foncé) et une blennie pour habiter ce petit univers coloré.

 

A gauche, on peut aussi observer le crabe de l’anémone (toute petite araignée)

On est rapidement arrivé à sable, ou plutôt sur des débris coquillers qui servaient de lit à une roussette.

A 20 mètres, la lumière du jour est encore parfaitement perceptible.

Les langoustes sont désormais omniprésentes sur la Côte d’Emeraude.Et un joli petit nudibranche : le polycera des Féroes pour conclure cette charmante exploration.

Bernard Grandclaudon

Les grottes du Cap

Plonger aux grottes du Cap Fréhel, c’est dépaysant…Une plongée de nuit en plein jour.Des lueurs crépusculaires.Les bouquets attendent la nuit.Les anémones ont de drôles de couleur.    Quelques créatures intrépides s’y aventurent.

Les blocs de roches sont recouverts de moules, de balanes et de mirabelles.

  A plouf,

Bernard

Mercredi 11 juillet 2018, plongée sur l’épave de la frégate Laplace

Une plongée en milieu de semaine, ça sent les grandes vacances…

Beaucoup de vie et une bonne visibilité au programme.

Tacauds et vieilles, les incontournables d’une épave bretonne.

L’étrave toujours aussi profilée.Rendez-vous à l’ancre ?

Le flanc tribord est toujours recouvert d’anémones marguerites.

La cassure, lieu de l’explosion laisse de mieux en mieux voir les machines.

Ainsi que l’intérieur par transparence.

Une bielle immobilisée pour toujours.

Des araignées squattent.

Les lieus jaunes patrouillent toujours vers les hélices et le safran.

Ewen s’est remis à l’eau et commence sa formation du N2

Vieilles et daurades tranquilles.

Les restes du château sont sortis du sable et sont bien visibles cette année.

dendrodoris, le plus gros des nudibranches et méduses (pour nourrir les poissons-lune)

A plouf, Bernard