le Walter

C’est un petit comité d’initiés qui descend aujourd’hui sur l’épave du Walter, à 35 m de fond.

Départ du port de Saint-Cast sous le soleil, comme d’habitude.
Patrick, notre pilote a choisi l’avant de l’épave et voilà ce que nous apercevons en arrivant.
Au dessus, des lieus, sont à l’agachon au milieu d’un banc de tacauds.
A l’intérieur, on peut voir l’accès à la cale
Les congres habitent tous les recoins possibles.
On n’en voit parfois que le bout de la queue.
Monsieur Coquette n’est pas loin de Madame dont on aperçoit le dos.
Comme sur toutes les épaves de cette génération, on ne peut pas louper la chaudière avec ses boulons énormes.
La salle des machines ne ressemble plus à grand chose.
On identifie aisément l’hélice à moitié ensablée.
Il est temps de s’orienter vers la surface.
Pendant le palier, on peut observer
une superbe méduse.

déconfiné !

Après la plus longue pause hivernale que le club n’ait jamais connue, c’est reparti pour de bon !

Pour bien commencer l’année, une nouveauté, la pointe des haches aux Ebihens.

Un beau relief avec des chaos de granit ménageant mille recoins pour abriter la vie.
Les araignées aiment visiblement les moules !
Les gros mâles attendent la mue des femelles.
Les homards, eux aussi se régalent des moules.
Leur couleur très sombre est-elle due à leur habitat dans une zone vaseuse ?
Nous croisâmes aussi des poissons, comme ce gobie léopard.
ou cette magnifique coquette femelle.
Admirez les couleurs de la parure nuptiale de ce crénilabre.
Et en se rapprochant, on observe des botrylles étoilées,
des alcyons oranges et
petits forêts de petit sapins.
Il est temps de remonter.

Bernard Grandclaudon