l’épave du Frémur, mai 2024

Aujourd’hui, temps gris et visibilité médiocre. Heureusement, le sable blanc (du maerl) rend la plongée plus lumineuse.
Tous les habitants habituels sont présents.

Tout le monde semble se blottir, comme pour échapper au froid.

Ce froid est quand même l’occasion d’observer la facéline bleutée dans toute sa beauté.
Je ne m’en lasse pas !
Non loin de là, sa ponte.

Epave de la houle, mai 2024

Toujours un bonheur de retrouver cet ilot de vie !
Un homard fait son trou sous un bout de tôle.
Charles a trouvé l’hélice.
Ce congre a atteint la taille limite pour habiter ici.
L’araignée se sent repérée.
Les filets bien enroulés ne gênent pas ce dormeur.
Les tacauds, habitants de toutes les épaves du secteur.
Bonne visibilité, mais eau froide : 12°

Plongée à l’amas du Cap, mai 2024

les 4 grands crustacés de la région dans la même plongée (araignée – homard – tourteau – langouste)
Le petit, curieux et discret porte-écuelle de Candolle qui se fixe sur le substrat rocheux grâce à une ventouse, repéré par Nathalie.
Le même, de face.
Sur une fesse d’éléphant, un charmant petit nudibranche. Je penche pour une limace clavigera (mais sans certitude).
Queue blanche et pas de papilles jaunes sur le dos, c’est ce qui me fait douter…
Mmes triptérygion et crénilabres, probablement en train de préparer la ponte…
Les polypes d’alcyon, ces petits palmiers me plaisent toujours autant.

la baudroie, le 10 juin à Saint-Cast

Une belle rencontre, à seulement une dizaine de mètres de profondeur, face à face avec une baudroie. Un beau soleil, heureusement car j’ai oublié de charger mon phare, l’éclairage est donc naturel. Merci à Bastien de me l’avoir montrée.

Nudibranches à Jouvente

Coriphelle mauve
Quadrilineata
Trapanie tachetée ? à moins que ce ne soit un polycera de Cornouaille ?
On distingue les pontes sur les hydraires antennes.

Reproduction de quadrilineatas
Coriphelle mauve encore, j’adore.

La saison des nudibranches s’achève. Quelques clichés de ces charmantes limaces printanières colorées.

Saint-Cast Plongée à Audierne – juin 2022

regardez la toute petite crevette sur la clione !
un ver planaire,

un polycera ou une trapanie ?

la reproduction du polycera des Féroés
un crimora à papilles ?
un oursin
un concombre (holothurie)
une étoile de mer
le dessous d’une étoile de mer
couple habituel : congre et crevette
belle vieille
poulpe
Saint Pierre
tapis d’anémones bijoux
autre poulpe
alcyon
tacauds…
Greg au paradis…

Merci Blandine pour l’organisation de ce merveilleux weekend.

Bernard

au pied du Fort Lalatte

Alors que nous étions partis pour le Laplace; la forte affluence sur le site (5 bateaux !) nous a fait modifier notre destination. Une destination classique mais toujours merveilleuse : le fort Lalatte

Les araignées étaient bien arrivées.
L’occasion de leur tirer le portrait.
Rapidement, on tombe sur ce discret et peu connu macropode.
A ne pas confondre avec le crabe de l’anémone.
Les autres crustacés décapodes comme l’étrille nous feront l’honneur de leur présence.
Le tourteau avec ses petits yeux verts.
Peut-être spécialement là pour moi ? Un bernard l’ermite qui a colonisé une crépidule.
Nathalie, ma binôme me montre une anémone parasite qui s’est détachée d’une coquille sur laquelle elle habitait, probablement celle d’un bernard l’ermite ou d’un bulot.
C’est l’occasion de jeter un œil aux grands cérianthes
et aux petits cérianthes.
On tombe ensuite sur une petite raie torpille.
Et puis une jolie sole.
J’adore sa tête avec les deux yeux du même côté.
La toujours très graphique botrylle.
Je ne sais pas trop ce que c’est… (taille de moins d’un centimètre) Probablement plus une ascidie qu’un nudibranche ou une limace.
Une rose de mer à la base d’une gorgone…
Dans la grande famille des hydraires…
Madame triptérygion est bien discrète au milieu de son petit jardin. Il y a même un ver filtreur près de sa tête.
L’avenir des calamars semble assuré.
Un vénérable gobie de sable.
Et voilà la relève avec ce gobie juvénile.
Une roussette accompagne un moment Nathalie.
Coincées entre les rochers (pour résister au courant sans effort ?) nous comptons jusqu’à 4 roussettes dans le même trou.
Avec une température de l’eau à 15°, elles commencent à devenir vivaces et véloces.
On peut imaginer à une toute autre échelle, un monstre rampant dans une jungle tropicale.
Je termine ma moisson du jour avec de charmantes petites pontes (j’ai oublié de quoi) sur les feuilles de zostères.

Samedi, c’est la Catis

En quête de nudibranches, nous observerons des pontes.
Les axinelles, toujours belles.
Une roussette roupille.
Pas touche aux fesses d’éléphant, ça les nécrose.
La blennie en a fait sa demeure.
Les anémones bijoux sont fermées.
Enfin, presque toutes.
Une langouste juvénile y élut domicile.
Pas très loin de maman.
N’allons pas nous faire étriller.

Pierre Bénite

Aujourd’hui, je plonge avec Nathalie !
L’occasion de prendre le temps de regarder le pied de l’anémone verte.
Une autre anémone que je ne sais pas identifier : dahlia ? Sagartiogeton blanc ?
Petite promenade dans le jardin des gorgones
On passe en mode macro pour regarder les polypes ouverts de certaines gorgones.
Non loin de là, je capte le regard d’une moussette.
Un gobie se repose près d’une rose de mer.
Je repasse en mode macro pour photographier les pétales en calcaire de la rose.
Des bancs de petits tacauds agrémentent notre promenade.
Une éponge « rameau de chocolat » est comme souvent couverte de poussières de vase.
On traverse la roche en passant par une grotte.
Un lieu jaune est à l’agachon dans le bref étage des laminaires.
merveilleuse rencontre de fin de plongée : un Saint Pierre, c’est le moins qu’on puisse faire en plongeant un dimanche matin sur Pierre Bénite.
Toujours calme, nous l’accompagnons jusqu’en haut de la roche.

Bernard Grandclaudon